29 Juillet :
La pluie coule sur ma peau pour masquer mes pleurs
Quand, isolée, je m'effondre sous la douleur
Alors qu'au lointain j'entends leur grand cris de joies
Une question se pose : pensent t'ils à moi ?
Mes yeux sont les traitres constant de mon mal-etre
Ils me dénoncent pour enfin leur faire admettre
Que j'ai besoin de leur aide et leur attention
Mais ils ne se posent toujours pas de questions.
Ma voix tremble juste pour qu'ils puissent l'entendre
Mais ils sont très loin d'essayer de me comprendre
S'occupant des autres membres de la famille
Me considérant même plus comme leur fille.
Leur aussi beau bonheur masque mes faibles cris
Il cache ce qu'il y a d'obscurs dans ma vie
Faut il les plaindre d'être devenus si sourd
Alors qu'ils ne distinguent plus tout ces contours ?
Est-il vraiment si important de se calmer
Alors que je n'ai qu'une seule envie : pleurer
Et que prochainement tout recommencera
Et qu'encore une fois on ne le verra pas...
Voilà, voilà.. ^^' Un poème qui s'adresse à mes parents.