Texte 1
Je m'appelle Noire, j'ai 16 ans et je vais aujourd'hui vous raconter mon histoire. Je suis née sur l'île de Drum, sur Grand Line. Je ne sait pas comment je suis née, ni ce qui c'est passée après, mais je sais que je vivais avec mes parents dans un chalet de montagne a l'âge de 10. J'aimais beaucoup mes parents, je les aidais dans les taches qu'ils ne pouvais plus faire a cause de leurs âges avancée, comme ramasser du bois pour le feu, déneiger le toit et l'allée, aller faire les courses... Je ne prenais pas sa comme une punition, mais plutôt comme un service rendu en échanges des repas et des cadeaux réguliers qu'il me faisais dans la mesure du possible.
Un jour ou j'avais 14 ans, je suis aller chercher du bois dans une foret (*NON, SANS DECONER!!!* Oups... J'ai recommencer... ) et je me suis perdue. La nuit commençais a tombée, et le froid nocturne se fessais déjà sentir. Je pris donc deux fruit rouges avec moi, et je couru le plus vite possible vers la grotte la plus proche, ce qui me valut au moins quelque plaies superficielles, ou peut-être pas, je ne savais pas si elle était gaves et je m'en fichait pas mal... Arrivée a la grotte, j'ai allumer un feu, puis j'ai manger le premier fruit avec appétit. Il était très bon, donc j'ai croquer dans le deuxième sans ménagement. Mais bien que je l'ai ais cueillit dans le meme arbuste, le deuxième fruit avait un gout immonde... Mais trop tard, j'avais avaler une grosse bouchée de se fruit, qui allais a jamais modifier mon existence. Je me souvent très bien de la première manifestation de mon fruit du démon:
"Dordel! Se fruit est dégelasse! Bon dieu comment j'ai pu manger une horreur pareil"
Apres ce moment j'avait une tête de déterrée. Et je me souviens aussi qu'après, j'ai entendu un cri strident de femme qui résonnait dans la montagne.
"Maman!"
J'avais tellement peur que se soit ma mère qui poussais ses crits déchirants que je suis sortie en précipitation de la grotte avec mon fagot de bois, sans éteindre le feu, et sans remarquer qu'un petit renne m'espionnait, malgré que sa cachette laissais a désirée...
Je courrais donc dans le noir de la nuit polaire, en essayant de retrouver l'endroit d'où provenais le cri qui m'effrayait tellement. J'avais mal au pied. Les ronces de l'étroit chemin m'écorchait. Le fagot de bois était de plus en plus lourd pour mes pied fatiguer. Je m'en fichait éperdument! Il fallait que je retrouve le sentier, que je voie que ma mère allait bien, que l'on rigole autour du feu que j'aurais fait avec mon fagot de bois... Ses seules pensées me donnait le courage d'avancée, de courir, de chercher se sentier, qui se présentât a mes yeux après une demi-heure de course sans arrêt. J'avais du mal a reprendre mon souffle, mais je continuais a courir sur le sentier. Et si s'était elle qui avais criée, qu'est ce qui c'est passée?
De la fumée! C'était la cheminée! J'effectuai un dernier sprint, sauta devant la porte, je l'ouvrit...
...J'entendis un coup de feu et vit son père se faire tuer.
Son cadavre est tombée près de celui de ma mère, et l'agresseur est repartit comme si de rien était, ce qui m'a mis dans une colère noire (hihi Noire lol! Hum hum...) Je sentit cette éclaire, le meme que j'avais senti dans la grotte... J'ai pris l'agresseur par la peau du cou, et je lui ai soufflée au creux de l'oreille:
" POURQUOI TU LES A TUER?
-Pour l'argent! On dirait pas mais se sont souvent les vieux gâteux qui on le plus de pognon!"
Si c'est pour apprendre ca que l'on vas a l'école, j'était heureuse de ne pas y être allée...
"ET BIEN MOI, JE VAIS TE TUER, LA, MAINTENAINT, TOUT DE SUITE! ET MOI, JE VAIS SAUVER LEURS HONNEUR, ET JE VAIS MEME RECUPERER MON ARGENT! AU FOND, C'EST TOI LE PERDANT DANS L'HISTOIRE! MAIS NE T'INQUIETE PAS, JE DEPOSERAIS DES FLEURS SUR TA TOMBE, SI QUELQU'UN TROUVE TON CARAVRE ET L'ENTERRE!"
Je l'ai lâcher, et je l'ai embrocher avec le tisonnier de la cheminée et une violente inouïe...
L'éclaire qui me donnais mon courage est partit d'un coup, et je me suis écroulée a terre, terrasser par la fatigue et ma tristesse.